» Jezabel est une grande brûlée. Elle vit très mal avec son corps et passe son temps à le cacher. A cause du rejet des autres, elle est devenue quelqu'un de très renfermée et extrêmement sur la défensive. » Hormis son frère, personne ne sait qu'elle est aussi écrivain, ayant gagnée le prix d'espoir de la littérature à ses quinze ans, ce qui lui permis de publier son premier livre. Son style d'écriture est très sombre, à la limite du déprimant, son domaine de prédilection étant les thrillers/drame dont la particularité est qu'ils sont centrés sur l'assassin, poussant les lecteurs à ressentir une empathie dérangeante pour son anti-héro. Elle donne une ambiance sombre et malsaine à ses histoires, laissant une impression étrange à ses lecteurs. Soit on aime, soit on déteste ses livres, mais on y reste rarement indifférent. Elle à publié un second livre vers ses dix-huit ans, mais ce dernier fut un échec commercial, Jézabel ayant trop essayé de calquer sur son premier livre. S'étant enfin remise des mauvaises critiques, elle a commencé l'écriture de son prochain roman. Elle à pour nom de plume Aveline Line. » C'est une fervente lectrice. Elle lit de tous mais à un gout particulier pour les romans d'épouvante et d'horreur. Sans surprise, elle aime beaucoup aussi les romans policier. Les murs de son appartement sont recouvert par des bibliothèques. Bizarrement, les seuls romans romantique en sa possession sont ceux de Jane Austen, pour qui elle voue un profond respect. Plus jeune, elle était amoureuse du ténébreux et taciturne Monsieur Darcy. » Elle n'a plus d'amis depuis la primaire, ce qui la rend peu sociale, bien qu'elle ne soit pas réellement asociale. Au contraire, elle adore parler, mais rarement pour rien dire, et adore les discussions, même si elles sont courtes et brèves, ce qui explique qu'elle soit très présente sur le net et si renfermée dans la réalité. Le fait qu'on puisse voir son corps la rend nerveuse, craintive, bien que les remarques des gens l'aient déjà tellement blessées qu'aujourd'hui elle ne lui font plus rien... Officiellement, du moins. » Orpheline après un incident lors de ses dix ans, Jézabel a été élevé par son frère, de douze ans son aîné. Elle s'entend bien avec, même si elle a, comme pour tout le monde, fini par s'en éloigner, déménageant alors. Elle ne parle jamais de l'incident, ni de ses cicatrices, mais son attitude punitive envers elle-même laisse deviner ce que l'on appelle la "culpabilité des survivants". Elle se punit d'être en vie. Elle a un très forte tendance à l'auto-destruction. Cela prendra probablement certaines proportions et aura des conséquences sur ses relations si elle ne trouve pas un moyen d'assouvir ce besoin dans ses relations, ou est obligé de brider cette pulsion masochiste. » Elle ne sort presque pas de jour et commande sur internet la plupart du temps. Les seules raisons qui la poussent hors de son appartement concernent uniquement ses romans. Son dernier roman ayant été considéré comme trop immature ( personnage trop creux, pas assez réalistes, intrigue moyenne, dénouement attendu, etc, etc, raison de son échec), Jézabel a donc décidé de sortir et sociabiliser pour y remédier.
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» Des connaissances? Que ce soit par le travail, sur internet ou autrement, Jézabel connait tout de même quelques personnes, que ce soit positif ou négatif. » Un(e) possible ami(e) à venir au fil des rps avec évolution à voir en fonction de la personne. Pour sûr, ça sera à cette personne de faire le premier pas. Ses efforts seront nombreux et sa persévérance mise à l'épreuve, mais quand le moment viendra, toutes ces difficultés paieront au centuple. » Un premier béguin (Obligatoirement à sens unique de base, possibilité d'évolution positive ou négative). Malgré elle, Jézabel connait ses premiers émois amoureux. Ce n'est rien de bien sérieux, juste un petit pincement au cœur, mais il n’empêche qu'elle n'arrive pas à l'oublier, trouvant toujours des excuses pour revenir là où elle peut voir cette personne. Pour une fois, Jézabel a envie d'aller vers quelqu'un pour faire sa connaissance, mais à chaque fois, elle se souvient soudainement de son apparence et renonce. Inlassablement, elle commence doucement à graviter autour de cette personne, se rapprochant pas par pas, jour après jour. » Un ou deux fans de ses livres mais qui ne savent pas qui se cache derrière son nom de plume, on pourrait créer des relations marrantes. » Un éditeur? Ou dans le même style en rapport avec son boulot d'écrivain. » Des personnes qui ne l'aiment pas ou son mal à l'aise en la voyant, après tout elle à tout une partie du corps brûlée, ça n'aime pas à se faire apprécier. » Je n'ai pas d'autres idées, là, tout de suite, mais je suis ouverte à toutes vos propositions~
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Ses livres:
La Bête
Thriller psychologique - Sortie il y a 5 ans
L'histoire commence sur un homme, Jonathan Park, un trentenaire qui vit une vie tranquille et somme toute assez banal. Depuis quelques jours, d'affreux meurtres sont découverts un peu partout dans sa ville, tant et si bien que les journaux surnommes le criminel ''La bête''. Dérangé par les descriptions monstrueuses d'un être sans une once d'humanité qui en sont faites à la télé, il est doucement amené à ce demander qu'est-ce qu'un ''monstre'' et qu'est-ce qui sépare l'Homme du monstre. Petit à petit, le lecteur est amené à suivre le cours de sa pensée - assez noire et dérangeante- ses métaphores comparant continuellement la sauvagerie et la bestialité aux lois humaines de son quotidien. Il en vient à la conclusion que tout Homme à une part monstrueuse en lui contre laquelle il doit se battre constamment pour la tenir loin des autres, et que, quand il ne peut plus le faire, il se doit alors de se raccrocher à ce qu'il restera d'Humanité tandis que la Bête commencera à la dévorer. On comprend alors que la souffrance est la dernière chose qui permet à Jonathan de se sentir Humain, et que les métaphores qu'il ne cesse de faire, comparant ses pulsions à des fauves et ses envies à des proies n'est autre qu'une façon détournée de parler de ses victimes. A la fin de la première partie du livre, nous comprenons alors que Jonathan et La bête ne font plus qu'un.
Dans la seconde partie du livre, nous suivons l'histoire d'Eve Lee, une criminologue qui traque la bête, essayant de comprendre ce qui peut pousser un homme à se livrer à tant de barbarie. Elle en arrive à la conclusion, après moult réflexions, que ce que recherche la bête dans ses actes n'est pas seulement une pulsion mais une punition. Il souffre de sa barbarie, de sa sauvagerie, mais paradoxalement, cette souffrance est la dernière chose qui le raccroche à son humanité. Alors il continue à tuer, non pas pour être un monstre, mais pour se sentir Humain. Prise d'un étrange sentiment de pitié, elle essaie alors de le retrouver pour l'aider et ainsi le sauver de lui-même. Prenant en charge le dossier, elle passe alors aux informations pour rassurer les foules et leur apprendre qu'ils font de leur mieux pour retrouver l'assassin. S'en suit alors une sorte de chassé-croisé où la Bête essaie de donner à Lee les indices nécessaires pour qu'elle l’arrête avant qu'il ne recommence, sans résultat. Une sorte de dialogue s'ouvre entre les deux, où Jonathan dit qu'il n'a pas d'autre choix que de le faire, et où Lee essaie en vain de le résonner, en lui montrant une presque compassion qui lui vaut la désapprobation de ses pairs. La compassion devrait être pour les victimes, pas pour les monstres. Doucement, la criminologue tombe dans une puissante obsession qui lui font chercher la Bête constamment, tant et si bien que ses supérieurs lui retire le dossier. Alors qu'elle décide de suivre seule une piste considérée comme fausse, Lee est enlevée par la Bête, qui la séquestre chez lui.
Commence la troisième partie du livre. La bête veut la tuer, mais Jonathan ne peut s'y résoudre. Une relation à la fois malsaine et particulièrement sombre se met alors en place, basée sur la fascination et exacerbée par leur proximité et la dépendance l'un à l'autre, tant et si bien qu'on ne sait plus réellement qui dépend le plus de l'autre. C'est un mélange de haine, de passion et de pulsions. La violence y est surtout verbale, car Jonathan reste toujours prudemment loin d'Eve pour résister à ses démons. Plus le temps passe et plus leur relation devient pratiquement amoureuse - Stockholm - Lee semblant de mieux en mieux comprendre la souffrance de cet homme. A force de le voir lutter contre cette pulsion meurtrière qui la vise, elle en vient elle-même à se corrompre, décelant alors quelque chose de beau et de fragile dans la Bête. Complètement fascinée, touchée, elle l'encourage à la tuer si c'est là le seul moyen pour lui d'aller mieux, cherchant par tous les moyens à l'aider. Ils couchent alors ensemble. Mais Jonathan ne pouvant se résoudre à tuer la seule personne qui voit un être humain en lui, finit par se suicider pour ne pas la toucher. Le livre fini sur Eve retrouvée qui, à son tour, se demande ce qui sépare l'Homme du monstre...
Critique : A la fois très sombre et profondément dérangeant, ''la Bête'' à d'abord surpris par son choix de suivre non pas Eve mais Jonathan - le criminel de l'histoire - mais aussi par son ton profondément lugubre, réaliste, et par moment très cru, ce qui est bien loin de ce qu'on attendrait de la part d'adolescents. Aucun des deux personnages n'est réellement bon, et on est presque écœuré en voyant leurs vraies natures, chacun se battant contre leur part sombre. Il n'y à ici aucune victoire du bien contre le mal, tout au contraire. La surprise ne fut que plus forte quand on su que l'écrivain n'avait que quinze ans lors de la rédaction du roman, ce qui lui valu d'ailleurs de gagner le prix de jeune espoir de la littérature. S'il eu quelques difficultés à se faire connaître en dehors du royaume-Uni, ''la Bête'' est depuis un an édité dans une dizaine de pays dont une partie de l'Europe et l'Amérique, continuant doucement à se trouver une place dans les romans cultes des ''thriller psychologique''. Une adaptation en film est envisagé par quelques cinéastes...
L'Ombre de la Bête
Thriller psychologique - Sortie il y a 2 ans
On y suit un inspecteur de police, Eric Clair, qui enquête sur une suite de meurtre ayant lieu depuis une semaine. Plus les meurtres s’enchaînent et plus il semble horrifié par ce qu'il voit, allant jusqu'à se demander si on à pas ici affaire à quelqu'un s’inspirant des actes de ''La bête'', un criminel qui frappa quelques années plus tôt. C'est alors qu’apparaît une certaine Eve Lee, criminologue ayant travaillée il y a trois ans sur une affaire similaire. Contre toute attente, la jeune femme semble peu intéressé par les meurtres mais plus par l'idée de remettre Eric en question. Elle lui pose beaucoup de question tandis qu'ils sont souvent amenés à se côtoyer, essayant de comprendre sa façon de penser, lui demandant alors ce qui, pour lui, différencie l'homme d'un monstre.
La deuxième partie du roman suit la relation des deux protagonistes qui doucement commencent à mêler vie privée et vie professionnelle, finissant par coucher ensemble. On comprend assez vite qu'Eric souffre de grave insomnie, qui le pousse à se réfugier dans l'alcool et aux femmes, tandis qu'Eve, sans surprise, se révèle de plus en plus morbide au fil des pages, semblant amener Eric sur une pente dangereuse. Elle lui ramène même une autre femme pour qu'il s'amuse avec elle comme il ne veut pas le faire avec elle. Ne comprenant pas il refuse tout net, puis, sous les demandes incessantes et caressante d'Eve, il accepte. La scène qui s'en suit semble d'abord forcé, puis passionné, puis doucement, tombe dans la frénésie et la violence, jusqu'au moment où Eric à l'impression de perdre pied. Quand il reprend conscience, la femme est morte.
On comprend alors que Eric est l'assassin depuis le début de l'histoire, et que l'apparition de ses pulsions ont créée chez lui un dédoublement de la personnalité, le poussant à refuser ce qu'il faisait et créer à son tour une Bête. Eve, satisfaite de l'avoir amenée à réaliser cette part de lui, le pousse à l'accepter, lui montrant tout ce qu'ils pourront faire ensemble, ce qu'il refuse, menaçant alors de la dénoncer et de se livrer. Déçue, elle décide de le tuer, s'en suit donc un combat entre les deux dont Eric sort mortellement blessé tandis qu'Eve meurt, le sourire au lèvre, satisfaire d'avoir été tuée par un monstre.
Critique : Très attendu et vivement critiqué, ''L'ombre de la bête'' fut un échec cuisant, la critique l’incendiant copieusement pour son manque d'originalité et de maturité, sans parler de sa fin décevante. Si l'ambiance sombre et dérangeante était toujours au rendez-vous, le reste, cependant était à revoir. Que ce soit le schéma scénaristique ou les personnages creux, voir ennuyants, tout semblait calqué du premier roman de l'auteur, tant et si bien que la conclusion fut attendu à peine une surprise, sans compter que l'inspecteur Clair, contrairement à Jonathan Park de ''La bête'' ne réussit pas à s'attirer cette sympathie coupable et dérangeante que le premier meurtrier de la série avait réussi à inspirer, tandis que Eve, qui aurait pu avoir un rôle intéressant, est ici prévisible voir risible. On pense que ce manque de recherche et de scénario est du à une pression des éditeurs qui forcèrent une parution trop rapide et précipité d'un nouveau roman dans un but uniquement commercial. Très décevant, il ne fut pas édité dans d'autres langues.
Dernière édition par Jézabel A. Stuart le Mer 11 Mai - 5:50, édité 21 fois
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Dim 12 Juil - 23:04
Elle fait partie du cercle des connaissances du net, de celles qui ignorent à quoi peut bien ressembler Jézabel derrière son pseudonyme. Si elles parlent souvent ensemble, Jézabel ne se confie cependant jamais à elle, préférant l'écouter, et essayant de l'aider, un peu à sa manière... Elle se sent parfois presque jalouse de cette femme qui, même si elle à quelques complexes, n'a pas à vivre avec un corps aussi laid que le sien, manifestement.
Sean Lucy Turner ◄
Jézabel est fan de Sean, ayant lu tous ses articles et adore ses photos, surtout si elle parle de crime, meurtres, et truc pas net du même genre -même si, avec la fanattitude, elle a fini par aimer absolument tout ce qu'elle fait. Elle lui a d'ailleurs envoyé une lettre pour lui faire savoir qu'elle trouvait son travail très intéressant et plus poussé que la moyenne des reporter, lui avouant qu'elle trouve sa passion et sa volonté admirable et que cela la pousse à faire de son mieux de son coté aussi, la remerciant alors d'être une source d'inspiration.
Si leur première rencontre fut quelque peu mitigée du coté de Jézabel, il n'en demeure pas moins qu'elle fut intriguée par cette femme et sa cécité. Cependant, elle ne sait pas réellement comment prendre sa prévenance à son égare pour le moment, ne sachant pas si elle doit lui donner du crédit ou non. Forcément, ayant en horreur l'idée que quelqu'un puisse avoir pitié d'elle, Jézabel ne sait pas réellement pour l'instant quoi penser de Lilly. Quand bien même elle semble par moment vouloir s'en rapprocher, faisant un pas vers elle, elle s'éloigne prestement quand Lilly s'approche à son tour. Une situation compliquée, en somme...
Dernière édition par Jézabel A. Stuart le Mar 21 Juil - 14:42, édité 3 fois
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Dim 12 Juil - 23:04
C'est compliqué, mais très fort. Voilà comment Jézabel pourrait décrire ce qu'elle éprouve quand elle y pense. A vrai dire, elle est obnubilée par cet homme. Tout chez lui l'inspire, son air, son attitude, son physique, au point qu'elle en vienne à essayer de revenir le plus souvent possible là où elle le croisa pour la première fois, l'épiant sans jamais oser l'approcher de peur de sa réaction. Si les coup de foudre artistique existe, alors Jézabel en a eu un : elle le trouve fascinant et souhaite s'en inspirer pour le prochain assassin de son livre, ce qui en soit, montre bien plus d’intérêt qu'on ne pourrait le croire. Littéralement, elle est sous le "charme".
Dernière édition par Jézabel A. Stuart le Mar 21 Juil - 14:35, édité 3 fois
Esperanza R. Delacour
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Lun 13 Juil - 2:08
Espé à quelques complexes et est du genre à les vivre mal, Jéza pourrait être une leçon de vie pour elle?
Elles se seraient rencontrés sur le net, et auraient parlé d'Espé, sans qu'Espé sache que Jéza est brûlée justement. Elle, Espé, a du mal à retrouver son identité aussi, car elle a perdu une grosse partie de sa vie à cause d'un accident de voiture.
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Lun 13 Juil - 6:01
J'aime beaucoup l'idée :D Du coup va pour contact internet qui pourrait finir par déboucher sur une rencontre irl, qui sait~
Esperanza R. Delacour
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Lun 13 Juil - 18:06
Ah génial *-*! Je t'ajoute donc. Il faudra attendre un peu par contre pour un rp T-T
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Mar 14 Juil - 13:17
J'ai aucune idée mais je me dis qu'un lien entre nos deux personnages serait pas mal parce qu'Ardra, le physique, elle s'en contre-fout un peu. Elle regarde pas le monde comme une personne lambda donc...
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Mar 14 Juil - 13:43
Avec Mavis, je n'ai pas d'idée, mais avec Démétrius ? Nous pourrions peut-être trouver quelque chose de sympa. Démé ne sera pas du genre à juger ou à prendre en pitié [il n'en a pas xD]
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Mar 14 Juil - 14:54
Je n'ai pas d'idée de lien, mais j'ai une idée d'approche pour Démétrius xD en soit leurs univers sont réellement très éloignés l'un de l'autre du coup, c'est assez difficile de trouver, mais, comme tu l'as dit, il y a quelque chose de sympa à faire, alors j'ai bel et bien une idée... Un peu wtf :')
Pour une raison X, Jézabel aurait pu d'une façon ou d'une autre croiser Démétrius devant l'Eden et aurait eu un coup de foudre artistique : c'est décidé, le prochain tueur de son roman sera comme ce type. Elle le trouve juste... Wouah. Que ce soit son physique, son allure, son aura ou ce "truc" mystérieux du mec au lourd passé, elle est sous le "charme", complètement fascinée par le monsieur. Il fera un assassin parfait pour son prochain thriller :') Cependant, elle n'ose pas l'approcher : mine de rien, si elle l’énerve à force de prendre des notes, et qu'il lui met une droite, même en la loupant, avec le vent elle s'enrhume... Du coup pour l'instant, elle se contente de passer, repasser à l'Eden... Chose ô combien étrange quand on à aucun jardin. Démétrius pourrait aisément et assez rapidement la griller ce qui pourrait amener un prochain rp et donc un lien? Qu'est-ce que tu en penses ? (Elle va aller acheter des cactus, pour légitimer sa présence, tiens... Logique? Aucune. )
Ardra je cherche encore, mais ça va venir, me faut juste une idée... o/
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Jeu 16 Juil - 14:57
MAJ 16/07
- Ajout des liens Sean, Dém, Ryuu ( manque un icone pour Lilly) - Ajout des rps pour Ryuu et Lilly. - Ajout d'informations complémentaires sur Jézabel - notamment sur ses livres - Les titres et les résumer à venir - Ajout d'idées de liens - Toujours en recherche d'une idée pour Ardra :'(
N'hésitez pas si vous voulez un lien o/
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Jeu 16 Juil - 15:23
Je cherche aussi ;)
hum...une envie d'en apprendre plus sur les origines de ton prénom, tu viens à sa librairie demander des bouquins...?
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Jeu 16 Juil - 16:01
Hum c'est un peu compliqué, pour des raisons liés à l'accident, Jézabel ne veut plus parler de près ou de loin de ses parents, or, son prénom ayant été choisi par son père... Néanmoins ton idée m'en a donné une autre. On lui a reproché que l'histoire de son dernier roman était trop creuse, aussi, décidée à explorer toutes les pistes pour sa prochaine publication, elle pourrait s’intéresser aux récits historiques, bibliques, mythologiques et j'en passe pour trouver des idées et renouveler ses connaissances, ce qui justement pourrait l'amener très souvent dans la boutique d'Ardra, l'obligeant peut-être même par la suite à lui demander conseil. Qu'est-ce que tu en penses?
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Jeu 16 Juil - 16:31
que ça me va niquel chrome, succube de la tentation, putain de jesaisplusoù//PAN xD
Jézabel A. Stuart
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart Mar 21 Juil - 14:45
MAJ du 21/07
- Ajout des romans (résumé et critique de presse) de Jézabel - Ajout de Lilly et Chiraz dans les liens - Liste des rps à jour. Encore une place de libre~ N'hésitez pas à demander un lien ou un rp :D
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Sujet: Re: Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart
Puisqu'il faut bien se résoudre à rêver | Jézabel Stuart